Les critères de recherche sont très personnels et dépendent de chaque personne, couple, famille, projet. Chacun a ses préférences ; toutefois, voici les critères que nous voyons revenir assez fréquemment ainsi que ceux auxquels sont confrontés nos confrères et consœurs du marché parisien lorsque l’on en discute avec eux.
Une attirance pour les étages élevés
Un critère qui revient souvent est la hauteur du bien. Les étages élevés ont la côte à Paris car ils offrent de la lumière, de la tranquillité en éloignant les occupants de l’agitation urbaine mais aussi la possibilité d’avoir des vues imprenables sur la capitale. Sur le plan financier, ils représentent également un bon investissement car leur rareté suscite une forte demande. Vous l’aurez compris, il y a des avantages financiers et non financiers qui découlent du fait d’habiter en étage élevé. Il faut noter cependant que souvent, à partir du troisième étage, l’ascenseur entre en critère de recherche supplémentaire.
Les espaces extérieurs, de plus en plus demandés (terrasses et balcons)
À Paris, les espaces extérieurs tels que les terrasses et les balcons sont un des nouveaux critères ayant pris une nouvelle ampleur depuis quelques années, notamment suite à la crise que nous avons connue, offrant un précieux échappatoire à l’agitation urbaine. Ces espaces deviennent des lieux de convivialité et de partage, favorisant les moments précieux entre amis, en famille, et la connexion avec la nature. Tout comme l’étage du bien, ces espaces extérieurs ajoutent une valeur significative à la propriété, tant sur le plan financier que sur celui du bien-être quotidien des occupants.
Le score au Diagnostic de Performance Énergétique, un nouveau point essentiel (DPE)
Le dernier critère très demandé est un bon score au Diagnostic de Performance Énergétique (DPE). Depuis peu, il est devenu un critère essentiel pour les acheteurs à Paris. En effet, un bon score au DPE signifie baisse des coûts énergétiques mais également confort pour les occupants. De plus, il accroît la valeur de la propriété et la rend plus attrayante sur le marché. Nous voyons également arriver de potentielles restrictions, notamment l’interdiction pure et simple d’effectuer de la location, pour les biens ayant de mauvais scores à leurs DPE (soit F et G). Ce score reste quand même un point sensible pour un marché parisien où la plupart des biens datent de la période Haussmann sous le Second Empire et sont donc vieillissants.
Vous détenez un bien avec un score F ou G au DPE ? Pas de panique, des solutions existent pour améliorer ce score qui ne doit pas être un obstacle dans la vente.